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Voici comment j'ai retrouvé Marie-Christine après une (courte) nuit de
sommeil : fatiguée, mais si heureuse !
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Érik, qui travaille tout près de l'hôpital, n'a pas eu besoin d'attendre
le week-end pour voir la maman et tenir le bébé dans ses bras.
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Le lendemain, je viens avec Élodie et nous retrouvons aussi Michel et Thérèse.
« Papi ! » dit Élodie en montrant... un papillon.
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Ne me demandez pas ce qu'Élodie fait dans la valise : c'est l'endroit idéal
pour regarder par la fenêtre et y voir un sapin, c'est-à-dire un « mé »,
puisque deux mois plus tôt les sapins de noël étaient tous « allumés ».
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Profitant de ce que Daphné n'y est pas, et aussi du fait que les infirmières
ne sont pas encore venues nous réprimander, Élodie essaye le berceau.
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Bon, se dit Élodie, le berceau c'est bien, mais quand même le bébé est
plus intéressant.
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Alors quand on remet Daphné dans le berceau sous la garde d'Élodie, la
grande soeur est toute fière de cette responsabilité !
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En attendant que Marie-Christine et Daphné quittent la maternité, Élodie loge
chez mes parents. Bien sûr elle prend tous les jours des nouvelles de maman
et de bébé.
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Trois jours après la naissance, Marie-Christine me semble plus reposée.
Dire que dans d'autres maternités, elle aurait déjà été mise dehors !
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Daphné aussi a embelli. Elle a perdu le teint rouge du premier jour.
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Je crois que je l'ai déjà écrit, mais c'est beau un bébé qui dort !
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Le matin du départ de l'hôpital.
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À quoi peut-elle bien rêver ?
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Cette fois, ça y est. Après un passage à Champigny pour récupérer la grande
soeur, nous serons bientôt tous les quatre à la maison.
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En tout cas, Élodie semble aussi heureuse que nous de la présence de Daphné.
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