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Une partie de « caché-coucou. »
Qui se cache sous le doudou ? Pour le savoir, allez à la photo suivante.
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« Coucou ! c'est Heïdi bien sûr ! »
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Heïdi et France dans la cuisine de Lanvénégen.
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Caroline et Marie-Christine.
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Élodie avec tonton-Francis-le-gentil.
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Le soir, pour le réveillon, tout le monde se fait beau.
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Caroline tente d'être seule sur la photo...
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... mais Paul ne se laisse pas faire.
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N'est-ce pas un charmant tableau ?
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Je vous ai gardé le meilleur pour la fin.
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Le lendemain, il est presque minuit et Élodie ne dort toujours pas...
mais le premier jour d'un millénaire n'est pas un jour comme les autres.
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La traditionnelle photo de groupe, avant de se séparer.
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Manon et Noémie. Ce qu'elles ont grandi depuis
la dernière fois que je les ai vues !
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Les membres de la Tarentelle s'étaient retrouvés autour de la même table.
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Jacques et Alix.
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Olivier : « Il paraît que maintenant il faut délivrer un diplôme Internet,
donc multimédia, aux enfants qui sortent du primaire. »
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« Est-ce que nos enseignants et enseignantes sont formés à ça ? »
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« Ben évidemment ! »
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Travaux pratiques : Anne-Séverine découvre le site Internet créé en secret
par Olivier. Et ma foi, elle se débrouille plutôt bien !
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Tanguy : « Bon anniversaire ! »
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(chanté sur l'air de Vive le vent)
« Vive maman, vive maman, vive maman chérie... »
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« ... t'as 30 ans aujourd'hui et je t'aime très fort ! »
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Pour finir, un diaporama retrace l'enfance d'Anne-Sé.
Les spectateurs tentent de séparer le vrai du faux, l'info de l'intox
(mais tout était vrai, bien sûr).
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Marie-Édith a invité sa famille et ses amis dans le château familial
en Normandie : la Commanderie de Sainte Vaubourg.
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Puisque personne ne connaît tout le monde, Marie-Édith fait les
présentations, en commençant par la famille.
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Parmi les rares personnes que je connaissais déjà,
il y avait évidemment Marie-Christine, mais aussi Magali et Claire.
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Pour d'autres, comme ce choriste à la belle perruque, il faudra que je
demande à Marie-Édith de me rappeler leurs prénoms.
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En plus des costumes, certains ont fait des efforts de maquillage.
Par exemple cette jolie salamandre, signe de reconnaissance de trois
personnes de la même famille.
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Les enfants sont bien sûr de la fête.
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Pour certains d'entre eux, le buffet d'apéritifs est fort tentant...
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Avant que la nuit ne tombe, il est possible de visiter les oubliettes.
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Une fois ressortis, on n'oublie pas de refermer pour éviter un accident.
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Tout le monde n'ayant pas profité de la première visite, on remet ça...
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Ce que Florence n'avait pas prévu, c'est que la dalle serait si lourde !
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De retour à l'intérieur du château.
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Une fois Élodie couchée, Marie-Christine profite pleinement de la fête.
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Passé 23 heures, certains enfants s'endorment...
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... alors que d'autres continueront de danser jusqu'au bout de la nuit !
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Pour souffler les bougies du gâteau d'anniversaire, il faut bien
« gonfler l'airbag.»
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Bravo ! Du premier coup... mais c'était dur.
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Puis vient le moment d'ouvrir les cadeaux.
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Florence commente avec humour le choix de chaque cadeau.
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Bref... une belle soirée d'anniversaire, très réussie.
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Le lendemain de la fête, personne n'a beaucoup d'énergie pour autre chose
que se prélasser au soleil.
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N'est-ce pas, Magali et Claire ?
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Élodie s'est trouvée une copine : Gabrielle, alias Gabou, si mes souvenirs
sont exacts. Il faudra que je demande à Marie-Édith de rafraîchir ma mémoire.
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La même en gros plan.
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Anna semble une fille bien coquine...
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Dans la famille « salamandre » je voudrais la fille, Estelle.
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Près de Christine et Marie-Christine, Gabou a trouvé une pompe à vélo.
Celle-ci semble intriguer Élodie.
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« Hourra ! J'ai attrapé la pompe à vélo ! »
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« Voyons comment cela fonctionne... » (et après ça on s'étonnera si ma
fille est gonflée !)
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Anna s'en donne à coeur joie sur le cheval à bascule.
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Bien évidemment, Élodie veut essayer aussi.
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Si Élodie a déjà fait quelques pas debout, ce n'était que chez la nourrice,
lorsque son papa et sa maman ne pouvaient pas la voir.
En revanche, la marche à quatre pattes ne lui pose plus aucun problème.
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Coucou !
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La Seine, vue du château...
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... et le château, vu de la Seine.
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Grâce au zoom, je peux m'approcher sans piétiner les champs qui se
trouvent devant.
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Après l'anniversaire de Marie-Édith, on fête celui des enfants nés à
la même époque.
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Lundi midi : déjeuner dans la grande cuisine du bas.
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Les adultes d'un côté, les enfants de l'autre.
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Après le repas, les enfants font fête au grand-père.
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Pendant ce temps, Marie-Édith et Magali s'amusent des mimiques d'Élodie.
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L'aprés-midi, un peu de sport pour faciliter la digestion.
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Gabou a remis son costume de princesse pour s'occuper d'Élodie.
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Avant de partir en camping, Marie-Édith s'entraîne à monter la tente
qui est l'un de ses cadeaux d'anniversaire.
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Magali et Florence auraient bien voulu aider Marie-Édith, mais elle doit
apprendre à la monter seule.
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Pour une première fois, elle se débrouille drôlement bien.
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Il ne reste plus qu'à fixer le double toit..
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... et au bout de 19 minutes seulement Marie-Édith prend possession des
lieux.
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Zip ! C'est fermé.
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Un petit coup d'oeil sur les nombreux admirateurs de la nouvelle campeuse.
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Encore bravo !
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Pour nous c'est la fin du week-end. Le temps de traverser la Seine par
le bac, et on rentre à Paris... À quand la prochaine fois ?
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Dans la grande salle du comité d'entreprise, le public arrive petit à petit.
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Derniers conciliabules entre les artistes...
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La sympathique et très dynamique chef de choeur joue le rôle d'animatrice.
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Je crois bien qu'en dehors d'elle je n'ai jamais vu un chef de choeur
autant monté sur ressorts.
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En tout cas le résultat est là : je n'ai pas souvent vu de chorale aussi
souriante non plus.
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Le public est invité à participer et à reprendre le refrain de
« il tape sur des bambous » avec le choeur.
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D'une année sur l'autre, les guitaristes accompagnent de plus en plus souvent
les choristes.
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Cela ne les empêche pas de garder toujours un morceau qu'ils interprêtent
tout seuls.
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Nouveauté cette année : un chant en solo, seulement accompagné au piano.
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C'est Joëlle, la prof de piano, qui joue l'accompagnement.
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Pour finir, une photo d'une partie du public.
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Françoise et Hugues se trouvant à Saint-Chély pendant notre séjour au Mazel,
ils viennent nous rendre visite avec Christophe, alias Titou.
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Titou est d'abord surpris de se voir sur l'écran du caméscope.
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La surprise passée, il nous offre un magnifique sourire.
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Pendant ce temps, allez savoir pourquoi, Élodie s'est installée dans
la caisse de jouets.
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« Maman ! Un lion ! »
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« Il y a un lion dans le livre d'Élodie ! »
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Depuis sa caisse, Élodie joue aux Légo avec Françoise.
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Un petit coup de fatigue.
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La petite balade de fin d'après-midi passe presque obligatoirement par
la fontaine.
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Comme Élodie, Christophe est intrigué par l'eau qui coule.
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La rencontre de voisins, en vacances comme nous, est l'occasion de discuter
un peu.
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Mais Élodie est vraiment fatiguée. Il va être temps de rentrer se reposer.
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Bruno et Véro sont venus nous rendre visite avec leurs enfants.
À l'heure du bain, Véro déshabille Ronan.
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Et hop ! dans l'eau.
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C'est maintenant au tour d'Élodie.
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Un petit sourire pour la caméra ?
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Et hop !
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Les voilà tous deux dans l'eau.
Avertissement : je ne garantis en aucune
façon l'authenticité des sous-titres des quatre photos qui suivent.
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Ronan : Quelle horreur ! Il y a une fille nue dans mon bain !
Élodie : Tiens ? C'est quoi ce truc ?
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Élodie : Je peux toucher ?
Ronan : Ça vas pas, non ? T'as déjà cassé le tien, je vais
pas te laisser jouer avec le mien !
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Élodie : Vexée, je suis.
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Ronan : Ben c'est vrai, quoi, elle a déjà cassé le sien...
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Après le bain, Ronan et Élodie font les fous sur le grand lit.
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Le gros ventre de Marie-Christine, une centaine d'heures avant l'accouchement.
On peut l'admirer en direct ou dans le miroir, mais Élodie préfère voir sa
maman sur l'écran de contrôle du caméscope.
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Élodie et Ronan, lequel semble intéressé par la caméra.
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D'après Bruno, Ronan serait assez cabot... comme son père ? En tout cas
cela permet de jolies photos.
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Élodie et Ronan se sont installés dans une caisse de rangement. En réalité,
c'est un moyen de transport universel...
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... elle peut se transformer en petit train...
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... mais aussi en avion !
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Satisfaits du voyage, messieurs-dames ?
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Un trio pour notre plaisir, avec Ronan à la tour musicale, Élodie au
biberon et Cassiopée au culbuto. Musique !
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Et pour finir le sourire de Bruno.
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Ce mercredi 16 juillet je me retrouve au « Vieux Pressoir » à Paris
pour passer la soirée avec une quinzaine de personnes que je n'ai jamais vues.
Un point commun nous rassemble : le groupe de discussions
fr.lettres.langue.francaise.
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C'est Marion Gevers qui nous a fourni l'occasion de cette soirée.
Profitant d'un séjour en Belgique pour revoir parents et amis,
elle a été ravie de pouvoir enfin montrer Paris (et Versailles)
à ses enfants, en compagnie de...
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... Clotilde Chaland, à la fois instigatrice et organisatrice
de cette rencontre.
Clotilde profite de la soirée pour fêter son anniversaire :
une seule bougie, c'est louche !
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Remarquez les belles bacchantes et le charmant sourire du
co-organisateur avec Clotilde, jean b.
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David Banney et sa femme Cathy ont été
invités par Marion lorsqu'elle a appris qu'ils arrivaient à Paris,
justement ce mercredi, à l'occasion d'une série de concerts en Europe.
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Le fils de Marion, Jonathan Moylan, joue du violon en Australie sous la
direction de David.
Un peu plus tard dans la soirée, chacun des deux nous fera profiter de ses
talents de musicien, de même que Mélanie, la soeur jumelle de Jonathan.
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Revenons aux habitués de fr.lettres.langue.francaise.
Didier Leroi est l'un des nombreux Belges venus spécialement à Paris
pour l'occasion.
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Pour faciliter les présentations,
Pierre Hallet s'est muni d'un badge à son nom.
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Jean Poulain fait partie des personnes qui ont contribué à ma page sur
l'écriture des nombres. En effet, c'est lui
qui m'a aidé à déchiffrer ce manuscrit de 1484.
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Christiane Poulain, épouse de Jean et passionnée de voyages.
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Ces yeux pétillants derrière des lunettes rondes sont ceux de
Stéphane De Becker, toujours plein d'entrain.
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Clément-Noël Douady n'intervient plus sur fllf depuis trois ans.
Je me permets malgré tout de vous conseiller le site du
« vieillard
fou de dessin » (sic).
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Marianne, alias lamkyre, a pris de son temps avant de venir
pour préparer un cadeau pour Marc Goldstein...
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... un petit pot de miel poivré !
À côté d'Isabelle Depape Hamey, hilare,
Marc se demande à quelle occasion il suivra le
conseil de Démocrite.
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Pour une fois j'ai la chance de figurer sur mes propres photos
grâce à Marc qui m'a emprunté le caméscope.
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Après le repas nous changeons de salle pour boire le café.
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Comme prévu les artistes se préparent et accordent leurs instruments.
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Pour commencer, Jonathan interprète plusieurs morceaux au violon.
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Puis c'est Mélanie à la flûte traversière.
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Quant à David Banney, après nous avoir enchantés avec la
Méditation de Thaïs de Jules Massenet,
il conclut en jouant le morceau fétiche des Australiens,
Waltzing Mathilda, que Jean Poulain
sera le seul de l'assistance à reconnaître !
À quand la prochaine soirée ?
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